dimanche 24 juillet 2011

Les occidentaux savaient depuis le début que le régime algérien aidait la famille Kadhafi à s’imposer par la force.



Cette fois-ci, le régime algérien a été pris la main dans le sac. Une cargaison d’armes, une de trop, débarquée dans le port algérien de Djendjen, et acheminée par des relais de l’armée algérienne vers la Libye, à travers le sud-est du Sahara algérien, a été éventée par les Américains, dont un haut responsable américain a fait état. Une opération qu’il a vigoureusement condamnée, accusant l’Algérie d’avoir violé les dispositions de la résolution 1973 du Conseil de Sécurité.

Comment les uns bombardent tout un pays, pendant que les autres perfusent son despote…

Pourquoi les Américains ont-ils dénoncé cette opération? Pourquoi celle-ci ? Pourquoi cette fois-ci ?
Le soutien du régime algérien à la famille Kadhafi, pour l’imposer par la force au peuple libyen était pourtant patent, et le CNT libyen l’a publiquement, et énergiquement signalé à la communauté internationale, à plusieurs reprises. En vain!
Le régime algérien a volé au secours de Kadhafi bien avant que les premières émeutes de Benghazi aient lieu.
Une alliance mutuelle aurait été contractée entre les deux régimes despotiques dès que la révolution de jasmin a commencé à souffler sur la région. Les occidentaux connaissaient la nature des relations entre les deux régimes, l’aide du régime algérien à son acolyte libyen, et même l’utilisation d’un clan du Polisario par le DRS, pour sustenter le despote libyen en armes, munitions, mercenaires, carburant et véhicules. Cela a été un secret de Polichinelle, depuis le tout début.

Pourquoi alors ni l’OTAN, ni une quelconque puissance occidentale n’en a rien dit jusqu’à ce jour ?

Est-ce seulement l’effet des gros contrats dont se sert le régime algérien pour mettre un bémol aux protestations occidentales, où bien existe-t-il d’autres éléments qu’on nous cache ,

En tout cas, à Alger, c’est le branle-bas de combat. Un malheur ne vient jamais seul, dit-on. Cette tuile qui tombe sur la tête du régime, et qui va, encore une fois, le montrer sous son véritable jour, tombe vraiment mal, pour l’association de malfaiteurs qui préside aux destinées des Algériens.
En plus d’un guerre de clans qui fait rage depuis peu, au sujet de toutes récentes commissions sur des achats d’armements, qui auraient rapporté un gros butin à un clan, au détriment d’un autre, un gros pactole qui se chiffre en plusieurs centaines de millions de dollars, il y a aussi l’affaire « El jenn », ce criminel contre l’humanité, qui a failli être pris comme un rat à New York, après que des opposants au régime algérien ait jeté l’alerte sur sa présence aux USA.
S’il avait été arrêté, le monde entier aurait découvert la véritable nature du régime algérien, et les atroces exactions qui ont été commises, dans les années 90, par les escadrons de la mort, et les GIA, tous agissant sous les ordres du sinistre DRS.(http://www.youtube.com/watch?v=T_O-QbQags0)

Le régime, alerté par une procédure qui venait d’être lancée depuis Londres, a fait exfliter in-extremis le criminel contre l’humanité, en usant d’un avion affecté à la Présidence de la République. Mais cette histoire a semé la panique dans le sérail. Un clan du DRS, le plus compromis dans les crimes de masse, parce que les généraux qui le composent aujourd’hui étaient des officiers opérationnels au moment des carnages et des enlèvements, a vite compris que si « el jenn » a été envoyé en mission aux USA, ce n’était pas pour ses brillantes qualités, puisqu’il n’en a aucune, hormis son goût immodéré pour le sang, mais pour les mettre dans une situation difficile, et les jeter en pâture aux opinions publiques internationales.

Le régime algérien déterminé à empêcher l’installation de démocraties à ses frontières…

C’est donc dans ce climat de guerre larvée, et d’une autre ouverte, que le régime algérien est finalement confondu, pour une énième forfaiture. Son implication aux côté de la contre-révolution libyenne, pour empêcher le despote de tomber, est enfin avérée. Ou plutôt publiquement dénoncée.

Cette cargaison d’armes destiné à la famille Kadhafi a bien été déchargée au port algérien de Djen-Djen, et acheminée vers la Libye par des relais de l’armée algérienne. Cette fois-ci les preuves sont tangibles et incontournables. Les Américains, par la voix d’un responsable du Département d’Etat, ont porté des accusations directes. Comme pour dire que c’était assez joué.

Mais ce que ne nous disent ni les journaux du régime, ni les porte-paroles du Département d’Etat, est que ce n’est pas d’aujourd’hui que le régime algérien vole au secours des Kadhafi. Ce n’est pas une cargaison qui a été achemniée via l’Algérie, mais des centaines. Une perfusion en non-stop, de moyens colossaux, un approvisionnement et un soutien en flux tendu.

Sans l’aide, massive, régulière, et très variée du régime algérien, Kadhafi n’aurait pas tenir dix jours.

Toutes les souffrances inutiles, et les morts de milliers de civils assassinés par les mercenaires de Kadhafi, auraient pu être évitées sans l’action morbide du régime algérien.

C’est lui, et principalement lui qui a porté Kadhafi à bout de bras, par tous les moyens dont il dispose, diplomatiques, militaires, logistiques, médiatiques, et autres que nous ne connaissons pas, mais dont nous aurons bien le détail, tôt ou tard.

C’est le régime algérien, aidé de certaines parmi ses créatures du Sahara occidental et de l’AQMI, qui ont acheminé armes, carburant et véhicules militaires au clan Kadhafi.

un clan du Polisario et un autre de l’Aqmi, des outils entre les mains du DRS algérien…

La désinformation qui a circulé sur les révolutionnaires libyens, pour les faire passer pour des djihadistes qui n’ont d’autre objectif que d’installer des républiques islamistes dans tout le Maghreb est un complot soigneusement ourdi par les officines du DRS, passées maîtres dans ce genre de manipulation. Ce sont elles qui envoyaient leurs groupes de l’AQMI vers la Libye, en même temps qu’elles les dénonçaient via leurs journaux et leurs relais médiatiques, à une opinion internationale chauffée à blanc, encore une fois, sur la menace islamiste.

Rien que de bien normal, en fait. Ces pratiques du régime algérien, presque anodines, contre les peuples en marche, procèdent d’une logique somme toute légitime. Puisqu’une association de malfaiteurs comme celle qui a pris le contrôle du pouvoir en Algérie, ne peut pas s’accommoder, à toutes ses frontières, d’Etats démocratiques, qui auront été fondés par les peuples eux-mêmes, après que les despotes en eurent été chassés. Cela aurait été suicidaire pour le régime algérien, s’il avait accepté, sans coup férir, que des systèmes démocratiques, et éminemment contagieux, s’installent à ses frontières.

Et c’est dans cette logique, que dès les premiers soulèvements populaires en Tunisie, le régime algérien a usé de tous ses moyens pour les contrecarrer, pour voler au secours de l’ami Benali, et plus tard pour lancer, et promouvoir, avec le même zèle hargneux, les contre-révolutions des autres peuples de la région.

Il tente, jusqu’à aujourd’hui, de faire échouer la révolution tunisienne, et de faire regretter au peuple tunisien d’avoir chassé Benali. Si les touristes algériens ne se sont pas rendus massivement en Tunisie, cette année comme à leur habitude, c’est parce que le régime algérien a déchaîné sa propagande, pour faire croire aux Algériens que la Tunisie est à feu et à sang, et qu’il était très périlleux d’aller y passer ses vacances. Les journaux du régime ont été jusqu’à publier des informations faisant état de l’enlèvement de deux nouvelles mariées, par des groupes de jeunes Tunisiens.
Le régime algérien a réussi, en fin de compte, à priver le peuple tunisien d’une manne habituelle. Ce qui ne manquera pas d’affecter gravement son économie. Ce que recherche exactement le régime algérien, qui tente de provoquer l’anarchie et le chaos dans ce pays voisin, pour dissuader les Algériens de se laisser tenter par une expérience révolutionnaire.

Un régime parano…

Le régime algérien est aux abois. Son hostilité aux réformes annoncées par le monarque marocain procède de la même logique paranoïaque. Aussi timides soient-elles, et tout aussi mièvres, ces réformes ont pourtant été perçues par le régime algérien comme un geste inamical, voire menacant. Une campagne anti-marocaine est savamment entretenue par les relais du régime algérien, pour empêcher, coûte que coûte, les deux peuples maghrébins de se retrouver, et de regarder ensemble vers l’avenir. Plus que cela, les récentes acquisitions d’armement par le régime algérien, pour près de 20 milliards de dollars, procède délibérément de la volonté de pousser le Royaume marocain à une escalade militaire, pour le ruiner, et le pousser au surendettement, à un moment où la poussée de la misère et du chômage risquent de mettre le feu aux poudres, dans un Maroc qui manque cruellement de ressources naturelles. Contrairement à son voisin algérien qui les dilapide en ruineuses dépenses, dont celle des armements risque de plonger toute la région dans une logique d’affrontement.

Et en même temps que le régime algérien lâche toutes ses meutes contre les opposants et les peuples voisins, il tente de se servir de l’immense pactole qu’il réserve à son fameux « plan quinquennal », environ 300 milliards de dollars, pour acheter la complicité, ou du moins la passivité d’un occident qui ne demande qu’à irriguer son économie, même si cela doive être accompagné d’indignes compromissions.

Les USA, la France, la Grande Bretagne et l’Allemagne, savent très bien ce que sont les pratiques de ce régime mortifère, non seulement contre son propre peuple, qu’il prend en otage, et qu’il pille sans vergogne, mais aussi contre les autres peuples de la région, dont il aide les despotes à les garder sous leur emprise.

Les occidentaux, et tout particulièrement la France, savent, dans le détail, toute l’étendue de l’aide scélérate et criminelle apportée par le régime algérien à la famille Kadhafi. Les gros contrats que leur agite le régime algérien sous le nez, pour qu’ils détournent le regard, sera inscrit à leurs tablettes, le jour où les peuples se seront débarrassés de toute leur vermine. Nous leur demanderons pourquoi ils acceptaient de bombarder des troupes de Kadhafi, avec toutes les victimes collatérales que cela entraîne, sachant qu’elle le faisaient en vain, et que dans le même temps que durait leur action, le régime algérien faisait parvenir aux Kadhafi bien plus que ce qui avait été détruit par leurs bombardements.
Et ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas, parce que nous savons qu’ils savent, et qu’ils ont toujours su.

En tout état de cause, cette histoire de cargaison qui a été éventée, n’en est qu’une seule parmi des centaines, peut-être des milliers d’autres. L’approvisionnement des Kadhafi par le régime algérien n’a jamais cessé. Pas un seul jour. Non seulement en armes, mais aussi en mercenaires, en carburant, en véhicules militaires, en munitions, en argent, et même en psychotropes du viol et de l’assassinat. Les même pilules bleues qui étaient distribuées aux criminels sanguinaires que le DRS envoyait dans les campagnes commettre des carnages contre les populations. Les mêmes pilules bleues que « El Jenn » prenait lorsqu’il égorgeait ses victimes, où qu’ils les énucléait, un oeil après l’autre, à l’aide d’une fourchette. Les mêmes pilules bleues ont été fournies aux Kadhafi. C’est dire!

D.Benchenouf

lundi 18 juillet 2011

Khamssine s’na barakat…50 ans ça suffit !

Par : Abdelwahab Benyelles*

« Quand les ailes et les rémiges (Tunisie & Maroc) du grand oiseau maghrébin rentreront dans une mue démocratique, il (Algérie incluse) est condamné, tôt ou tard, à prendre son envol final pour la liberté ! »

Il était impératif et du devoir de l’information qu’LQA mette en exergue depuis plus de deux semaines spécifiquement ce 05 Juillet 2011, non pas seulement comme une discoureuse triste date d’anniversaire, mais comme un dernier « déclic » officieux pour le pouvoir félon en place, in extenso officiel pour le peuple algérien et le monde entier, et exclusivement historique en son objet : un « compte à rebours » !

Une action non tangible, non contrôlable, non manipulable, intrinsèquement enclenchée dans le temps et la conscience algérienne qui désire aujourd’hui plus que jamais d’un changement final et radical du système, notamment en cette dernière année clôturant le mi-centenaire de cette indépendance algérienne confisquée.

Une période d’anniversaire des plus longues de toutes en plein printemps arabe pardi, et de surcroit dans un « flux exorbitant de gesticulations de coulisses du pouvoir intra-muros » qui ne laisse, comme en son habitude hélas, rien que de la ruse à présager.

Depuis l’avènement des technologies de l’information, la jeune société algérienne ne se ferait plus avoir par la manipulation machiavélique, ni être encore bercée par le discours d’antan byzantin ou encore moins par les carnavals de consultations « boulitiques » initiés récemment par le pouvoir renégat qui refuse l’authentique changement.

Dorénavant l’année 2011 – 2012 serait l’année de la contestation pacifique avec un décompte quotidien de plus en plus lourd, lequel sensibilisera certainement toutes les souches franches et larges de la société algérienne, celles qui mettront en œuvre les actions républicaines sur le terrain pour l’édification d’un État de Droit proclamé par une Assemblée Générale Constituante issue de la volonté populaire.

Le préambule pour une transition politique démocratique ainsi que la délivrance nationale attendue depuis un demi-siècle, sont à la portée de chaque algérien et algérienne en ces circonstances charnières des annales de la nation. Tout va se jouer pendant cette année. Une fin de parcours d’un long règne dictatorial qu’aucun de nous ne voudrait manquer pour accélérer la chute finale du pouvoir et accomplir civilement, librement, pacifiquement et collectivement les devoirs constitutionnels, républicains et démocratiques qui s’imposent à la réalité algérienne.

L’accomplissement majeur de l’action réparatrice du vrai cours légitime de l’histoire dans une des occasions rare et une atmosphère unique, lesquelles ne se représenteront pas de sitôt, également de la même manière à attendre une autre prochaine éclipse solaire…si on « métaphorise » encore sur notre sort !

Après ce coup de baroud silencieux, le décompte a commencé depuis le 05 Juillet 2011. Chaque jour qui passe raisonnera sourdement de plus en plus fort que son jour précédent jusqu’à la date fatidique où tous les contrats, clauses et arrangements signés à ce jour en dessous de la table entre le régime depuis 1962 et ses collaborateurs d’outre-mer seront désormais caduques.

Il faut souligner d’une façon fébrile que le régime actuel algérien ne s’est autant jamais senti menacé que cette fois ci. Le danger est réel. La roue va définitivement tourner dans le bon sens des choses. Les «alliés démocratiques», les «mentors politiques», les «forces occultes supranationales», ces derniers connivents à la pérennité dictatoriale du système, n’auront plus le Choix, hélas, que de se plier et de se conformer à la volonté populaire du changement radical de «leur» régime tant honni par une nation martyrisée depuis longtemps, rendue malgré elle à un stade incontesté pacifiquement prématurée de la chose politique, expérimentée dans le sang et plus jamais manipulable comme jadis, ayant perdue le plus cher et le plus précieux de sa chair, de son âme et de sa raison d’être depuis l’apothéose du terrorisme pédagogique durant la tragique décennie noire. Le lourd tribut aurait été plus que largement payé, en toutes natures, de manière à friser sans pareil avec un cursus génocidaire historique dans tous les domaines. Basta !

L’effet balancier des «marionnettistes» de ce monde se pencherait languissamment sur l’entité apte à être la bien organisée, ouverte d’esprit et la plus intelligente des enjeux du moment. Sachant pertinemment que la réalité «sangsue» des détenteurs du pouvoir actuel est révolue, usée et découverte sous son vrai visage depuis un certain temps, versus les forces vives intellectuelles algériennes qui se sont dispersées, divisées, cloisonnées et perdues dans leur interminable manipulation dissonante.

Puisse ce « compte à rebours » durant cette période anniversaire, être désormais le métronome national pour l’éveil de la société algérienne, laquelle devrait s’attendre normalement dans l’usage du patriotisme à retrouver son «instinct grégaire», de souhaiter voir se réunir prochainement en Algérie et partout ailleurs ses essences intellectuelles, son élite réelle et ses enfants génies pour donner à la société matrice le goût encore une fois de s’unir tous ensemble, objectivement, sans ambigüités et d’une manière altruiste autour d’un véritable projet algérien de société libre et démocratique. Un legs historique à laisser aux générations futures.

Quelle tâche titanesque à vue d’horizon, mais nous devrions peut-être reprendre à notre façon, le slogan porteur réalisateur de l’irréalisable, le : Yes We Can ou bien mieux encore le…ih a nizmir ou tout simplement Wellah Ghir Gadrine !

*A.By

Consultant en gestion des organisations

Membre fondateur du Front du Changement National. (FCN)

dimanche 10 juillet 2011

URGENT : Il dénonce la corruption……il se retrouve en prison !!! Arrestation du maire de Zeralda

Rédaction LQA

Nous venons d’apprendre des citoyens de Zeralda qui nous ont alerté en fin d’après-midi que Mr Mouhib Khatir, maire indépendant de la ville de Zeralda a été kidnappé mercredi soir par des policiers venus à bord d’un fourgon banalisé de type Volkswagen Cady, à sa sortie de la mairie. Il aurait été emmené vers une destination inconnue. Selon sa famille, il aurait été présenté aujourd’hui, jeudi 07 juillet 2011 devant le magistrat du tribunal de Hadjout (Tipaza) et incarcéré à la prison de la même ville. Une perquisition aurait été effectuée par la police. Tous les citoyens qui nous ont constactés sont formels : c’est le procureur général de Blida, un certain ABDELLI Mohamed qui serait à l’origine de cette cabale judiciaire grossière contre ce maire incorruptible. Ce magistrat aurait été accusé par le maire d’avoir avec son frère, détourné une vingtaine de logements sociaux, pour leurs proches et amis.

Voir la vidéo du maire publiée il y a quelques jours : http://www.youtube.com/watch?v=6muNtsuuFwE

Nous suivons de très près cette affaire de HOGRA caractérisée.

Nous nous permettons de reproduire le commentaire d’un compatriote Ben Mamar Abdenour publié sur facebook sur la page : Libérez Mouhib Khatir

Au dernieres nouvelles Le president d’apc aurait achete sur le compte de la mairie 15 portables pas 20 pas 30 ou 50 mais 15 portables pour son usage personnel !!!! ceci aurait été avancé par le procureur général de Blida Mr ABDELLI afin de justifier l’arrestation abitraire du Maire de Zeralda et son mandat de dépot immédiat alors qu’aucune enquête n’a apporter la moindre preuve de ces accusations farfelues et dont le montage est grossier voire sordide. Contrairement à Monsieur KHATIR Maire de ZERALDA elu par le peuple qui lui a déposer une plainte contre ce meme procureur qui a détourné à son actif plusieurs logements sociaux destinés essentiellement à la population algérienne de Zeralda, ce au profit de ses amis et certains membres de sa famille, la preuve a été démontrée cf la liste sur ce mur et jointe au dépot de plainte. Ces attributions ont fait l’objet de documents falsifiés avec la complicité de l’ancien Maire Mr BENSALAH. Ce qui est surprenant c’est que ces derniers n’ont JAMAIS été inquiétés et que cette arrestation arrive à point nommé pour tenter de faire taire Monsieur Le MAIRE et etouffer cette affaire. IL est dangereux pour l’avenir de notre pays qu’un citoyen algérien elu par le peuple et qui a le devoir et qui a préter serment de servir on peuple se retrouve en prison pour avoir voulu respecter la parole et le serment donnés ..Nous vaincrons l’injustice quelle qu’en soit l’issue nous ne baisserons jamais les bras nous le lui devons.

vendredi 8 juillet 2011

50 ans d’indépendance confisquée, de mensonges et de démagogie : en voici le résultat !!!

L’indice mondial 2011 de l’innovation : l’Algérie se classe dernière parmi 125 pays !

El Watan

C’est une véritable déconfiture !…

C’est une véritable déconfiture ! L’Algérie vient d’être classée dernière au monde par l’Indice mondial de l’innovation (GII). Notre pays se retrouve tout bonnement à la 125ème place et clôture ainsi ce classement mondial réalisé par l’INSEAD, une des écoles supérieures de commerce les plus grandes et les plus renommées à l’échelle mondiale !

L’Algérie, dernier pays au Monde en matière d’innovation ! C’est le terrible constat dressé par l’édition 2011 de l’Indice mondial de l’innovation (GII), publié conjointement par l’INSEAD et ses experts partenaires : Alcatel-Lucent, Booz & Company, la Confédération des industries indiennes (CII) et l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle.

Selon le communiqué de presse de l’INSEAD, les experts partenaires du GII « ont participé au projet en apportant leur concours aux recherches et en contribuant à la diffusion des résultats. En outre, pour la première fois en 2011, un comité consultatif composé de neuf praticiens et spécialistes de différents pays, rassemblant des connaissances et des compétences uniques dans le secteur de l’innovation, a été créé pour appuyer les activités de recherche et la diffusion des résultats ».

Par ailleurs, le rapport du GII « contient des chapitres analytiques présentant des tendances mondiales récentes en matière d’innovation qui ne peuvent guère être restituées par des indicateurs traditionnels. Ces sections ont été élaborées par les experts partenaires, qui sont tous des acteurs de pointe dans le domaine de l’innovation. Les sujets abordés comprennent les innovations abordables en Inde; un éclairage sur l’innovation en Amérique latine; les villes intelligentes et durables; la portée mondiale de la recherche-développement; et les indicateurs se rapportant à la créativité et aux secteurs concernés par le droit d’auteur », souligne encore le communiqué de presse de l’INSEAD.

Dans ce contexte, les résultats de l’édition 2011 de l’Indice mondial de l’innovation (GII) ont révélé que la Suisse a pris la tête du classement cette année, gagnant trois places par rapport à l’édition 2010. La Suède et Singapour suivent respectivement aux deuxième et troisième rangs.

Il est à signaler également que six États européens (dont la Finlande, 5e, le Danemark, 6e, les Pays Bas, 9e, et le Royaume Uni, 10e) se retrouvent parmi les 10 pays les plus innovants au monde. Dans ce top 10, on retrouve aussi deux économies asiatiques (Hong Kong, Chine, 4e) et deux pays nord-américains (les États Unis d’Amérique, 7e, et le Canada, 8e).

L’Algérie, quant à elle, enregiste les plus mauvais scores au monde ! Elle se retrouve en queue de peloton des 125 pays, répartis sur tous les continents, étudiés par ce rapport mondial. Notre pays est ainsi carrèment dépassé par des pays en guerre à l’image du Soudan et d’autres touchés par une profonde crise politique comme la Côte d’Ivoire !

Selon cet indice mondial, des pays à faibles revenus comme le Ghana, le Bénin ou même le Niger font mieux que l’Algérie en matière d’innovation. Enfin, cet Indice mondial de l’Innovation prouve que l’Algérie est dépourvue d’un facteur « clé de la croissance économique ». et en l’absence d’un « environnement favorable à l’innovation », l’Algérie ne pourra jamais booster sa « compétitivité ».

Abderrahmane Semmar

mercredi 6 juillet 2011

Les vrais prédicateurs de la haine : l’arrestation du Cheikh Raed Salah par les Britanniques (Counter Punch)

Jonathan COOK


Nazareth - A en croire la plus grande partie des médias britanniques, il s’agit d’un "prédicateur islamiste de la haine" dont les vues sont "violemment antisémites" et qui a financé des opérations terroristes du Hamas.

Le déchaînement de fureur de la semaine dernière contre le Sheikh Raed Salah que le Daily Mail a décrit comme un "ignoble militant extrémiste" a poussé le gouvernement britannique à ordonner son arrestation la nuit dernière ; il est en instance de déportation imminente. Le raid sur son hôtel d’où il a été emmené menotté à la prison a eu lieu juste avant une intervention prévue devant le parlement britannique à laquelle devait assister plusieurs membres du parlement.

Le tollé contre le Sheikh Salah a choqué le 1,3 million de citoyens palestiniens d’Israël. Pour eux, il est un leader spirituel et le chef d’un parti respecté, le Mouvement Islamique. Il est aussi admiré par un large public palestinien. Le mouvement laïc du Fatah, y compris Salam Fayyad, le premier ministre de l’Autorité Palestinienne, ont aussi condamné son arrestation.

De nombreux Palestiniens, comme des millions de Musulmans du Moyen Orient, révèrent le Sheikh Salah parce qu’il protège les lieux saints chrétiens et musulmans qui sont négligés et maltraités par le gouvernement israélien. Ils ne comprennent pas que les médias britanniques le comparent à Ben Laden.

La plupart des Juifs d’Israël n’étaient pas non plus au courant de la soi-disant réputation du Sheikh Salah comme quelqu’un qui hait les Juifs, malgré leur vigilance pour tout ce qui ressemble à de l’antisémitisme. C’est vrai qu’en général les Juifs israéliens ne l’aiment pas mais c’est surtout parce qu’ils pensent que le courant islamique auquel il appartient est incompatible avec l’idéologie étatique de suprématie juive. Ils le craignent parce qu’il est le leader d’un Islam local qui refuse de se laisser intimider. Les israéliens qui considèrent que cela en fait un antisémite, le pensent uniquement parce qu’ils classent tous les musulmans pieux dans la même catégorie.

Les officiels israéliens détestent aussi le Sheikh Salah. Pas non plus parce qu’il serait soi-disant antisémite mais parce qu’il les gênent beaucoup en faisant campagne depuis longtemps pour empêcher ce qu’il considère comme une tentative israélienne de s’approprier l’enceinte (connue sous le nom de Mont du temple NdT) où se trouve la Mosquée al-Aqsa à Jérusalem - tentative qui s’inscrit dans un plan plus vaste de "judaïsation" des parties occupées de la ville.

En d’autres termes, pour les Juifs israéliens, le Sheikh Salah est un empêcheur de tourner en rond et un provocateur invétéré tandis que la minorité palestinienne du pays accuse Israël de le persécuter pour ses opinions politiques et religieuses.

Les médias et le gouvernement britanniques se sont fourvoyés maladroitement dans cette querelle interne à Israël au nom de principes éclairés qui se sont en fait révélés être des préjugés profondément ancrés. L’humiliation du Sheikh Salah par le système britannique -soi-disant dans le but de promouvoir "la décence et le respect"- aura pour seule conséquence de rappeler aux Musulmans l’hypocrisie si souvent patente de la politique occidentale.

Le deux poids deux mesures est mis tout particulièrement en lumière par la récente promesse que la grande Bretagne a faite à Israël de changer ses lois de juridiction internationale. Cette modification permettra au groupe croissant d’Israéliens suspectés de crimes de guerre d’échapper à toute future menace de poursuites dans le Royaume-Uni et de recevoir un accueil beaucoup plus chaleureux que le Sheikh Salah.

Il n’est donc pas surprenant que l’opposition anglaise à la présence du Sheikh soit la conséquence d’une campagne de diffamation orchestrée par des groupes pro-israéliens.

Ils l’ont accusé de répandre la calomnie de "crimes rituels"* contre les Juifs sur la base de sources douteuses. Quand ils ont brandi ces mêmes accusations en Israël il y a plusieurs années, le Sheikh Salah a été mis en examen et inculpé. Cependant les poursuites ont été abandonnées peu après par manque de preuves crédibles.

Les autres allégations -à savoir le financement d’attaques terroristes du Hamas- reposent sur des accusations formulées par le gouvernement israélien de 2003 pendant une de ses nombreuses arrestations. Bien que l’état ait soi-disant accumulé 200 000 enregistrements d’appels téléphoniques, ils n’ont jamais trouvé dans ces conversations la preuve tangible qu’ils cherchaient.

Au lieu de cela, le Sheikh Salah a langui en prison pendant deux ans pendant que son procès traînait en longueur, les chefs d’accusations sans cesse réduits par manque de preuves. Finalement il a accepté un accord (plea bargain) en échange de sa libération et il a été condamné pour avoir financé des organisations caritatives islamiques au profit de veuves et d’orphelins - qui furent déclarées "soutien au terrorisme" comme toutes les associations islamiques des territoires occupés y compris les organisations d’assistance sociale qui sont persécutées sans répit par la répression punitive israélienne.

Le système légal israélien, en dépit de sa propension à considérer chaque citoyen palestinien comme une menace pour la sécurité, n’a pas réussi à condamner le Sheikh Salah ni pour antisémitisme ni pour avoir aidé directement des terroristes.

Alors pourquoi l’Angleterre se montre-t-elle "plus israélienne que les israéliens" comme deux membres arabes du parlement israélien l’ont fait ironiquement remarquer ?

Une des raisons est que la grande Bretagne est de plus en plus soumise à l’influence du lobby pro-israélien. Des accusations infondées ont été lancées en premier lieu par les médias juifs d’Angleterre qui sont devenus les pom pom girls d’Israël et par le Comité des députés (Board of Deputies), l’organisme anglais qui représente les Juifs.

L’autre raison est que le lobby pro-israélien n’a hélas aucune difficulté à exploiter l’islamophobie qui domine le discours public dans beaucoup de pays occidentaux, y compris l’Angleterre. La crainte d’un choc des civilisations et de l’immigration musulmane engendre l’idée que tout érudit ou autorité islamiste ne peut être qu’un "mollah fou" de plus.

Cette approche menace les valeurs mêmes qu’elle prétend défendre. Elle réduit au silence ceux qui sont le mieux placés pour critiquer la politique occidentale -à savoir ses victimes. Et elle empêche de remettre en question les idées les plus chères à l’Occident, idées qui, dans certains cas, pourraient se révéler être des idées sectaires tout simplement.

Il faut souligner un aspect des choses que les commentateurs médiatiques ont passé sous silence. Le Sheikh Salah ne venait au parlement, le berceau de la démocratie anglaise, pour parler du Djihad ni des infidèles, mais de comment "instaurer la paix et la justice à Jérusalem".

Les occidentaux ont désespérément besoin d’entendre ce message, mais Israël et ses supporters ne veulent absolument pas qu’ils l’entendent. Grâce aux médias et au gouvernement britanniques, les Anglais ne pourront pas bénéficier d’un vrai débat sur le sujet avant encore un moment.

Jonathan Cook

Jonathan Cook est écrivain et journaliste. Il vit à Nazareth. Ses derniers livres sont : “Israel and the Clash of Civilisations : Iraq, Iran and the Plan to Remake the Middle East” (Pluto Press) et “Disappearing Palestine : Israel’s Experiments in Human Despair” (Zed Books). Son site web est : www.jkcook.net.

Pour consulter l’original : http://www.counterpunch.org/cook07042011.html

Traduction : Dominique Muselet

Note :

* La légende des crimes rituels (les Anglais disent blood libel) attribue à des minorités déterminées et socialement rejetées des meurtres contre les membres du groupe majoritaire, le plus souvent des enfants. Calomniant ceux qu’elle proclame les auteurs, elle provoque et justifie oppression et persécution. Ses colporteurs profitent des enlèvements qu’on n’a pu éclaircir, des accidents et des décès et pour les expliquer ils proposent des boucs émissaires. De telles légendes ne sont pas seulement le résultat de légendes populaires, enracinées dans la superstition, mais, dans un but de propagande, elles sont aussi construites et utilisées de façon réfléchie par des groupes d’intérêts religieux, politiques, régionaux ou locaux. Des pogroms, des lynchages et des meurtres camouflés en jugements en sont souvent le résultat.